“Coal Age Galapagos”: Joggins and the Lions of Nineteenth Century Geology
DOI :
https://doi.org/10.4138/2155Résumé
The celebrated coastal section at Joggins, Nova Scotia, has played a seminal role in the development of the Earth Sciences, figuring in the careers of such lions of Nineteenth Century science as Lyell, Dawson, Darwin, Logan, Marsh, Gesner, Agassiz, Wyman and Owen, among others. The story that unfolds is not only one of scientific discovery, but one of enlightening interactions between the players that brings to life these personalities, their debates and, for some, their personal agendas. The “marvellous chapter of the big volume” of Earth’s history recorded in the sea cliffs at Joggins served as a “Coal Age Galapagos” for Lyell, Darwin, Dawson and others, furthering their case for geological and evolutionary principles that continue to inform scientific and popular views today. Coincidental with Lyell’s appearance on the scene, Logan undertook at Joggins one of the first field projects of the Geological Survey of Canada. Against the backdrop of advancing scientific thought and positions, a penny opera of professional one-upmanship was played out. Gesner sought reprimand of Lyell from Murchison, President of the Geological Society for misleading Nova Scotia’s geologists; Owen, who earlier coined the word “dinosaur”, beat Lyell and Dawson in naming their own discovery; while a young O.C. Marsh, presaging his intensely competitive dinosaur battles with Edward Cope, arrived at Joggins from Yale hot on Lyell and Dawson’s trail, only to be duped by a worldly traveller ready to oblige his desire for fame. Above all others, the work of Dawson in describing the fossil record and its ecological context established a lasting legacy of relevance for the Joggins cliffs. RÉSUMÉ Le célèbre secteur côtier de Joggins, en Nouvelle-Écosse, a joué un rôle majeur dans l’essor des sciences de la terre : il figure parmi les carrières de plusieurs personnages scientifiques du 19e siècle, tels que Lyell, Dawson, Darwin, Logan, Marsh, Gesner, Agassiz, Wyman et Owen, entre autres. L’histoire des lieux ne se limite pas à une découverte scientifique; elle relate des interactions instructives entre les protagonistes mettant au jour ces personnalités, leurs débats et, dans certains cas, leurs priorités personnelles. Le « merveilleux chapitre du grand volume » de l’histoire de la terre, enregistré dans les falaises de Joggins, a constitué un « genre de Galapagos de l’âge du charbon » pour Lyell, Darwin, Dawson et d’autres : il a soutenu les principes géologiques et les principes de l’évolution qu’ils avançaient et sur lesquels continuent de s’appuyer aujourd’hui les opinions scientifiques et populaires. En même temps que Lyell apparaissait sur la scène, Logan entreprenait à Joggins l’un des premiers projets de la Commission géologique du Canada sur le terrain. Avec le désir de faire progresser la pensée et les positions scientifiques en toile de fond, un opéra aux nombreux rebondissements s’est alors joué entre chercheurs professionnels. Gesner a demandé à Murchison, président de la Société géologique, que Lyell soit réprimandé pour avoir induit en erreur les géologues de la Nouvelle-Écosse. Owen, qui avait antérieurement avancé le terme de « dinosaure », a battu Lyell et Dawson en baptisant leur propre découverte. Cependant, un jeune O. C. Marsh, pressentant ses luttes profondes intensément compétitives avec Edward Cope, arrivait à Joggins en provenance de Yale, tout enthousiaste de s’engager dans le sillage de Lyell et de Dawson, mais seulement pour être dupé par un voyageur d’expérience prêt à se plier à son désir de célébrité. Émergeant au-dessus de tous les autres, les travaux réalisés par Dawson pour décrire les fossiles présents et leur contexte écologique ont implanté un héritage durable et pertinent par rapport aux falaises de Joggins. Traduit par la redaction]Téléchargements
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