This paper explores the complexities and contradictions, as well as the progressive potential of industrial heritage tourism sites. It considers how industrial heritage sites may enable, if not foster, the communication of personal and collective stories and experiences of past crafts and ways of life, along with the oppression, exploitation and abandonment that often comes with industry. The focus of the essay is the ongoing recast into an industrial heritage tourism destination of a former mining village and complex in Portugal. Built and run by an English mining company during the mid 19th century, the mine operated until the 1960s. Three representations of the history of the S. Domingos mine and community are analyzed and confronted, namely two exhibitions prepared for the 150th anniversary of the founding of the mine, a painting, photography and multimedia exhibition, and a book written and self published by a former miner.
Résumé
Cet article explore les complexités et les contradictions en même temps que le potentiel croissant du tourisme pour les sites du patrimoine industriel. Il examine la manière dont les sites de patrimoine industriel peuvent permettre, si ce n’est favoriser, la communication d’histoires personnelles et collectives et les expériences d’artisanat et de modes de vie du passé, en même temps que l’oppression, l’exploitation et l’abandon qui vont souvent de pair avec l’industrie. Cet essai se concentre sur la réaffectation continue d’une destination touristique de patrimoine industriel, celle d’un ancien village et complexe minier du Portugal. Dirigée par une compagnie minière anglaise au milieu du XIXe siècle, la mine est restée en activité jusque dans les années 1960. Trois représentations de l’histoire de la mine et de la communauté de S. Domingo sont analysées et comparées, nommément deux expositions préparées pour le 150e anniversaire de la fondation de la mine, une exposition de peinture, photographie et multimédia et un livre écrit et publié à compte d’auteur par un ancien mineur.
