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Articles

Volume 67, Spring/Printemps 2008

Visitors’ Voices: Lessons from Conversations in the Royal Ontario Museum’s Gallery of Canada: First Peoples

Submitted
October 29, 2010
Published
2008-01-01

Abstract

Several days before Christmas 2005, the Royal Ontario Museum (ROM) held a “members only” opening for their new First Peoples gallery. Attending this occasion with one of the curators, I had the unique opportunity to gain an inside view of the curatorial strategies behind the exhibit, while simultaneously positioned to overhear the uncensored remarks of visitors as they first encountered the show. This circumstance stimulated dialogue on such central issues as redefining the “culture area” concept, overcoming the “disappearing Indian” stereotype and revisiting the pros and cons of dioramas, as well as the constraints of finance-minded administrators and unreliable professional design teams. Reflection on these issues draws attention to the importance of reaching children through exhibits and of establishing comparative frameworks for the postmodern narratives of contemporary exhibits. This article uses visitors’ comments as a springboard for a discussion of the above issues. Résumé Quelques jours avant Noël 2005, le Musée royal de l’Ontario organisa l’inauguration, « réservée aux membres », de la toute nouvelle galerie des Premières nations. Assistant à cet événement en compagnie de l’un des conservateurs, j’ai eu l’opportunité unique de voir de l’intérieur les stratégies de conservation à l’arrière-plan de l’exposition, tout en étant en même temps en bonne position pour entendre les remarques non censurées des visiteurs qui regardaient cette exposition pour la première fois. Cette circonstance a suscité le dialogue sur des questions de fond telles que la redéfinition du concept « d’aire culturelle », comment surmonter le stéréotype de « l’Indien en voie de disparition » ou la réévaluation des avantages et des inconvénients des dioramas, autant que sur les contraintes générées par des administrateurs soucieux des finances et les équipes de designers professionnels pas toujours fiables. La réflexion sur ces questions attire l’attention sur l’importance d’atteindre le public des enfants au moyen de ces expositions et d’élaborer des cadres comparatifs pour les récits postmodernes des expositions contemporaines. Cet article utilise les commentaires des visiteurs comme point de départ de la discussion de ces questions.