Aller directement au menu principal Aller directement au contenu principal Aller au pied de page

Articles

Volume 63, Spring/Printemps 2006

Who Preserves? The Protection of Historic Places in Growing and Struggling Communities

  • Tom Urbaniak
Soumise
octobre 29, 2010
Publié-e
2006-03-01

Résumé

We know little about municipal and community politics in Canada as they relate to identifying and protecting “historic” buildings, streetscapes, districts and cultural landscapes. Drawing on the experiences of the rapidly growing and generally prosperous city of Mississauga and the economically struggling Cape Breton Regional Municipality, this paper enquires into the objective indicators that could be used in future multi-municipality studies to gauge the extent to which an historic-preservation ethos is embedded into municipal governance. Measuring staff resources dedicated to heritage planning as a proportion of overall planning is critical, as is appraising the competencies and qualifications of members of the municipal heritage committee. This paper then considers several plausible preconditions to a strong municipal preservationist ethos and settles on the importance of the permeability of the local political system to the intellectual and cultural classes. Such permeability may be an aberration in many places, tending to arise during periods of political and economic crisis or dislocations. Preservationists may therefore be well advised to take full advantage of political windows of opportunity to secure not only victories on active files, but deeper, carefully designed institutional reforms. Résumé Nous savons peu de choses de la manière dont les politiques municipales et communautaires identifient et protègent les bâtiments, les rues et les paysages ou ensembles culturels « historiques ». À partir des expériences de la ville de Mississauga, prospère dans son ensemble et en croissance rapide, et de la Municipalité régionale de Cap Breton, aux prises avec des difficultés économiques, cet article s’enquiert des indicateurs objectifs qui pourraient être utilisés à l’avenir dans les études multi-municipales pour évaluer jusqu’à quel point l’ethos de la conservation historique s’inscrit dans la gestion municipale. Il est essentiel de prendre la mesure de la proportion des ressources humaines consacrées à la planification de la conservation du patrimoine sur l’ensemble des planifications, de même que d’évaluer les compétences et les qualifications des membres du comité municipal en matière de patrimoine. Cet article considère donc plusieurs conditions préalables plausibles à un fort ethos « conservationniste » municipal et détermine l’importance de la perméabilité du système politique local aux classes intellectuelles et culturelles. Une telle perméabilité peut être une aberration en beaucoup d’endroits, tendant à émerger durant les périodes de crises ou de désorganisations politiques et économiques. Les partisans de la conservation du patrimoine seraient donc bien avisés de tirer avantage de toutes les ouvertures politiques possibles pour s’assurer non seulement des victoires sur les dossiers en cours, mais également de réformes institutionnelles plus profondes et soigneusement préparées.