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Articles

Volume 49, Spring/Printemps 1999

Painting Without Permission: An Ethnographic Study of Hip-Hop Grafitti Culture

  • Janice Rahn
Submitted
October 29, 2010
Published
1999-01-01

Abstract

This study of hip-hop graffiti employed ethno-graphnic methods of participant observation and interviewing. The themes that emerged concerned issues of public space, community and dialogue. Part one forms the foundation to understand how individual participants deviate from or conform to traditional hip-hop grafitti culture. Part two outlines how the attitudes and social activities of the participants reflect old and new schools of thought. The voices of hip-hop graffiti members are woven throughout the text. Although participants varied in their allegiance to traditional hip-hop graffiti, they shared a sense of belonging to a community that did not threaten autonomy. Many conclusions were reached as implications for education, mainly the need for structures outside of institutions for adolescents to take ownership over learning, to mentor and learn with peers. Graffiti culture gives adolescents a sense of power in a society that does not take them seriously until they become adults. Résumé Cette étude des graffitis hip-hop s'appuie sur des méthodes ethnographiques d'observation et d'entrevue des participants. Les thèmes qui en ressortent ont trait à l'espace public, à la collectivité et au dialogue. La première partie forme le fondement permettant de comprendre comment les individus participants dévient de la culture traditionnelle du graffiti hip-hop ou s'y conforment. La seconde partie souligne en quoi les attitudes et les activités sociales des individus reflètent les anciennes et nouvelles écoles de pensées. Les paroles des membres du graffiti hip-hop s'entrelacent dans le texte. Même si l'allégeance aux graffitis hip-hop traditionnels est variable selon les personnes participantes, celles-ci partagent un sentiment d'appartenance à une collectivité qui ne menace pas leur autonomie. L'auteure tire de son étude de nombreuses conclusions qui ont des conséquences en éducation, notamment le besoin de structures extérieures aux institutions où adolescents et adolescentes pourraient assumer leur éducation, se former et apprendre avec leurs pairs. La culture du graffiti donne à ces jeunes un sentiment de pouvoir dans une société qui, jusqu'à ce qu'ils deviennent des adultes, ne les prend pas au sérieux.