Skip to main navigation menu Skip to main content Skip to site footer

Articles

Volume 13, Fall/Automne 1981

Shanty Life in the Kawarthas, 1850-1855

Submitted
October 29, 2010
Published
1981-06-06

Abstract

The papers of the Mossom Boyd Company, deposited in the Public A rchives of Canada, enable the researcher to investigate the intricacies of manufacture and trade in the square timber andsawlog economies throughout the second half of the nineteenth century. The ivide assortment of material available in this collection also gives some indication of the lifestyle and working conditions of those employed in these economies. For these men, ivorkingfor a newly established business isolated in the backivoods of the Kawartha Lakes area, life in the 1850s was extremely hard. Primitive living quarters, insufficient diet, hard physical work, constant dangers, and poor pay were the mainstay of their existence. While the vast majority of lumbermen employed by Mossom Boyd seemed to accept their lot, as the labour market probably gave them no alternative, afeiv indicated their resentment through absenteeism, drink, and simply leaving their employment. Résumé Les documents de la Mossom Boyd Company, conservés aux Archives publiques du Canada, permettent au chercheur d'étudier le domaine complexe de l'industrie et du commerce du bois équarri et du bois de sciage au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. La grande diversité de données de la collection laisse aussi entrevoir le mode de vie et les conditions de travail dans ce secteur de l'économie. Pour les employés d'une jeune entreprise au fond des bois de la région des lacs Kaivartha, la vie pendant les années 1850 était extrêmement difficile. Des baraquements rudimentaires, une alimentation inadéquate, un dur labeur, la présence constante du danger et un maigre salaire composaient leur lot. Même si la plupart des forestiers à l'emploi de Mossom Boyd semblaient s'accommoder de la situation, sans doute parce que l'état du marché du travail ne leur laissait pas le choix, quelques-uns manifestaient leur mécontentement en s'absentant du travail ou en buvant, ou abandonnaient tout simplement leur poste.