Production d’autoreformulations autoamorcées par des apprenants adultes du français et capacité de mémoire de travail

Autores/as

  • Daphnee Simard Université du Québec à Montréal
  • Tatiana Molokopeeva Université du Québec à Montréal
  • Yan Qing Zhang Université du Québec à Montréal

DOI:

https://doi.org/10.37213/cjal.2021.28971

Palabras clave:

second language, oral production, working memory

Resumen

L’étude rapportée dans cet article avait pour objectif d’examiner la relation entre les autoreformulations autoamorcées, soit les révisions que les locuteurs amorcent et exécutent sur leur propre discours (Salonen et Laakso, 2009, p. 859) et la mémoire de travail, définie comme étant un système à capacité limitée responsable de l’emmagasinage temporaire et de la manipulation de l’information (Baddeley, 2012). Bien que quelques études aient examiné la relation entre les autoreformulations autoamorcées et la mémoire de travail, les résultats obtenus présentent des divergences que des différences d’ordre méthodologique permettent d’expliquer. Nous avons donc voulu jeter un éclairage nouveau sur la relation entre ces deux variables en observant les autoreformulations autoamorcées à l’aide d’une tâche de narration à partir d’images et en ayant recours à une tâche numérique complexe afin de mesurer la mémoire de travail. Trente adultes locuteurs non natifs du français ont participé à l’étude. Les résultats obtenus des analyses factorielles en composantes principales montrent une relation différenciée selon le type d’autoreformulations autoamorcées produit.

Publicado

2021-01-22

Cómo citar

Simard, D., Molokopeeva, T., & Zhang, Y. Q. (2021). Production d’autoreformulations autoamorcées par des apprenants adultes du français et capacité de mémoire de travail. Canadian Journal of Applied Linguistics, 24(1), 138–158. https://doi.org/10.37213/cjal.2021.28971

Número

Sección

Articles