Skip to main navigation menu Skip to main content Skip to site footer

Articles

Vol. 19 No. 2 (2016): Special Issue: The Culture of Study Abroad

The Benefits of Study Abroad on the Fluency of Learners of French as a Second Language

Submitted
July 27, 2015
Published
2016-12-16

Abstract

Abstract

This study addresses possible benefits of study abroad on second language fluency. Specifically, we compare the use of disfluencies as an indicator of in-class second language proficiency among American students of French who had studied abroad in France for 6 months with that of similar students who had not studied abroad. Despite numerous past studies, the field of second language acquisition has not yet conclusively demonstrated a “linear pattern of development” (Jensen & Howard, 2014) in proficiency among learners on study abroad. Data were collected post-sojourn in three informal small-group discussions with six undergraduate students enrolled in an intermediate French course at a U.S. liberal arts college in 2014. The data were analyzed for the use of filled pauses, silent pauses, and self-repairs. Despite project limitations that call for extended research on the topic, overall results suggest that study abroad decreases learners’ post-sojourn use of all three types of disfluencies, especially grammatical self-correction.

Résumé

Cette étude examine les avantages possibles de l’étude à l’étranger sur la maîtrise d’une langue seconde. Plus spécifiquement, nous comparons l’usage des traits de la « non-maîtrise » comme indice de la compétence langagière dans la classe de langue seconde auprès de deux groupes d’étudiants américains du français. Le premier groupe a passé une période d’étude de 6 mois en France, tandis que le second groupe n’a pas fait de séjour d’études à l’étranger. Malgré de nombreuses études antérieures, le champ d’études de l’acquisition de langue seconde n’a pas encore démontré de façon conclusive une « constante de développement linéaire » (Jensen et Howard, 2014) dans la compétence auprès des apprenants en séjour d’études à l’étranger. Des données « après-séjour » ont été recueillies de trois petits groupes de discussion informels composés de six étudiants de premier cycle inscrits à un cours de français intermédiaire à une université de lettres et sciences sociales et humaines en 2014. Les données ont été analysées pour l’usage des marqueurs de pause, les pauses muettes et les corrections. Malgré les limites de ce projet, les résultats dans l’ensemble suggèrent que l’étude à l’étranger diminue l’usage de chaque type de traits de la « non-maîtrise » étudié par les apprenants « après-séjour », en particulier la correction grammaticale.