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Articles

Vol. 16 No. 1 (2013)

Native Language Affects Spelling in English as a Foreign Language: A Time-Course Analysis of Proficient EFL Spelling

Submitted
April 24, 2013
Published
2013-04-22

Abstract

Abstract

The study explores first language (L1) influences on the mechanisms of spelling in English as a foreign language (EFL). We hypothesized that the transparency of L1 orthography influences (a) the amount of hesitation associated with spelling irregular English words, and (b) the size of units EFL spellers operate. Participants were adult speakers of three languages differing by the degree of transparency, Danish, Russian, and Italian (n = 60), and a group of English native speakers (n = 20). We analyzed keystroke logs from typed spellings of 30 English words. The amount of hesitation (number of corrections and number of long within-word pauses), was equal across all participants groups, thus disconfirming our first hypothesis. Inter-key intervals between onsets and rhymes were longer than within-rhyme intervals, but only in Danes and native English speakers, and not in Russians and Italians. We discuss how the characteristics of the L1 may explain the observed cross-linguistic differences.

 

Résumé

L'étude explore l'influence de la langue maternelle sur les mécanismes de l'écriture en anglais langue étrangère. Nous avons supposé que la transparence orthographique de la langue maternelle influencerait (a) le degré d'hésitation associé à l'écriture des mots anglais irréguliers et (b) les unités orthographiques que les apprenants de l’anglais langue étrangère utilisent en écrivant. Les participants (apprenants de l’anglais [n = 60] danois, russes et italiens, et un groupe anglophone [n = 20]) ont épelé 30 mots anglais irréguliers à l’ordinateur; les frappes de touche ont été enregistrées. Le degré d'hésitation (le nombre de corrections et le nombre de pauses longues) était uniforme dans tous les quatre groupes, ce qui infirme la première hypothèse. Les intervalles entre attaques et rimes étaient plus longs que les intervalles entre noyaux et codas, mais seulement chez les Danois et les Anglophones, et pas chez les Russes et les Italiens. Nous discutons comment les caractéristiques de la langue maternelle peuvent expliquer les résultats.