Volume 29, Number 1 (2002)
Articles

Technical, Non-technical, and Other Skills Needed by Canadian Mining, Petroleum and Public Sector Organizations

Published 2002-03-03

How to Cite

Heath, C. P. M. (2002). Technical, Non-technical, and Other Skills Needed by Canadian Mining, Petroleum and Public Sector Organizations. Geoscience Canada, 29(1). Retrieved from https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/4109

Abstract

Events of the last decade have forced Canada's geoscience community to restructure, refocus on core businesses, and devise new strategies. These require new technologies to replace the old. Using 1996-1997 data collected from 21 large mining and oil companies and five public sector organizations, the author identifies, assesses, and ranks about 150 geoscience sub-disciplines, computer skills, non-technical and soft skills, and also evaluates mathematics, language, and business requirements. Geoscience skills comprise about 50% of the entire skill profile. Computer skills (16%) are highly transferable to alternative careers. Non-technical and soft skills (34%) are also essential. The teaching-learning process develops some non-technical and soft skills although many of them seem to be innate. Although students and alumni wanted more language education at university, executives seemed lukewarm to language skills. Most respondents wanted some business education to be included in curricula: so did alumni and students. New external forces now influence education and recruiting. These include a more sophisticated and global recruiting process and an expectation that recruits have higher qualifications and industry-related work experience. The need for all geoscience stakeholders to work together in the preparation of young geoscientists has become essential. Résumé Les événements de la dernière décennie ont forcé la communauté géoscientifique à se redéfinir et à recentrer son attention sur les activités essentielles ainsi qu'à convenir de nouvelles stratégies. Cela nécessite la mise au point de nouvelles technologies qui remplacent les anciennes. À partir des données recueillies de 1996 à 1997 auprès de 21 grandes sociétés minières ou pétrolières et de cinq organismes du secteur public, l'auteur définit, évalue et classe environ 150 sous-disciplines, compétences informatiques, connaissances générales et non-techniques, et évalue l'importance relative des exigences en mathématiques, en langue et en commerce. Les compétences géoscientifiques constituent environ 50 % du profil complet des compétences requises. Les compétences informatiques (16 %) sont directement applicables en cas de réorientations de carrière. Les compétences générales et non techniques sont également jugées essentielles. L'apprentissage formel permet d'acquérir certaines compétences générales et non-techniques, mais nombre d'entres-elles semblent être innées. Alors que les étudiants actuels et les anciens considèrent qu'il faudrait augmenter la formation en langue à l'université, les dirigeants d'entreprise semblaient plus réservés en la matière. La majorité des répondants considéraient que le programme d'enseignement devrait être constitué d'une certaine proportion de connaissances commerciales, et les étudiants actuels et anciens étaient d'accord. De nos jours, des forces nouvelles influent sur l'éducation et le recrutement. Ainsi, le recrutement est maintenant un processus plus élaboré et plus global, et l'on s'attend à ce que les recrues soient plus qualifiées et qu'elles possèdent une expérience pertinente. Il est maintenant évident que tous les parties intéressées devront travailler de concert afin de mieux préparer les jeunes géoscientifiques.