Volume 27, Number 2 (2000)
Series

Geology and Wine 2. A geological foundation for terroirs and potential sub-appellations of Niagara Peninsula wines, Ontario, Canada

Simon J. Haynes
Department of Earth Sciences, Brock University, St. Catharines, Ontario.

Published 2000-06-06

How to Cite

Haynes, S. J. (2000). Geology and Wine 2. A geological foundation for terroirs and potential sub-appellations of Niagara Peninsula wines, Ontario, Canada. Geoscience Canada, 27(2). Retrieved from https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/4045

Abstract

All of the vineyards in Niagara are planted on soils derived from a variety of Late Pleistocene to Early Holocene, subglacial and proglacial sediments. These were deposited during a series of Late Wisconsinan continental ice advances and retreats, on a landscape that had been carved into the Paleozoic bedrock by this and earlier Quaternary glaciations to form the several landforms that exist above, on, and below the cuesta of the Niagara Escarpment. This paper proposes that the existing delineation of grape viticultural areas, by climate zone, be considerably modified by the recognition that it is the significant differences in the geology that control distinction of terroirs and sub-appellations based on variation of land-form physiography, soil types, and groundwater flow conditions. From considerations of these geological and climatic differences, in combination with wine profiles distinguished by J-L. Groux, winemaker at Hillebrand Estates, the Niagara Peninsula Designated Viticultural Area can be divided into at least eight sub-appellations. Résumé Tous les vignobles de la région du Niagara croissent dans des sols issus d'une variété de sédiments sous-glaciaux et pro-glaciaux de la fin du Pleistocene et du début de l'Holocène. Ces sédiments ont été déposés lors d'avancées et de retraits glaciaires wisconsiniens sur un substratum de couches ordoviciennes sculptées par l'action de glaciations qui ont précédées et qui ont laisser les nombreuses formes de relief que l'on peut voir sur et de part et d'autre de la cuesta de l'escarpement du Niagara. Dans le présent article, nous proposons que la délimitation actuelle des diverses zones viticoles par zone climatique soit révisée en profondeur afin de tenir compte de variations significatives de nature géologique et qui déterminent les différents terroirs et sous-appellations en fonction de la physiographie du paysage, des types de sol et des paramètres de l'écoulement hydrique. En combinant de telles considérations géologiques et climatiques aux différents profils viticoles établis par J.-L. Groulx, viticulteur au domaine Hillebrand, la région vîticole du Niagara pourrait être subdivisée en huit sous-divisions au moins.