Volume 23, Number 4 (1996)
Articles

The Arctic Atmosphere: Sulphur and Trace Metals

M. A. Wadleigh
Department of Earth Sciences, Memorial University of Newfoundland, St. John's, NF.

Publié-e 1996-12-12

Comment citer

Wadleigh, M. A. (1996). The Arctic Atmosphere: Sulphur and Trace Metals. Geoscience Canada, 23(4). Consulté à l’adresse https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/3921

Résumé

The atmosphere is the principal transport path to the Arctic of sulphur, toxic heavy metals and chlorinated organic compounds. One of the consequences of these pollutants is the winter phenomenon of arctic haze. Once a pollutant is emitted into the atmosphere, its transport to the Arctic is determined by the position of the polar front. In winter, the front expands to occupy a large fraction of the North American and Asian continents. Anthropogenic sulphur and metal input to the Arctic peaks in the winter half of the year and aerosol studies point to Eurasia as the major source region. By adding to these data, trace metal and other isotopic information indicative of particular sources (e.g., V, Pb, Zn), apportionment may become possible. Precipitation and lichen monitoring activities could provide useful additional information for characterizing change in the Arctic atmosphere. Résumé L'atmosphère est la principale voie d'accès à l'Arctique des sulfures, des métaux lourds toxiques et des composés organochlorés. La brume arctique en hiver est l'une des conséquences de la présence de ces polluants atmosphériques. Une fois dans l'atmosphère, le transport du polluant jusque dans l'Arctique dépend de la position du front arctique. En hiver, le front s'étend et occupe une grande portion de l'Amérique du Nord et de l'Asie. L'apport maximal des sulfures anthropogéniques et des métaux en Arctique se situe dans la moitié hivernale de l'année, et les études sur les aérosols indiquent que l'Eurasie en serait la source principale. En ajoutant à ces données celles sur les métaux traces et sur les profils isotopiques des particules, il est possible d'établir la répartition des points d'origine des particules (par ex. V, Pb et Zn). L'étude des précipitations et des lichens peut également fournir des informations additionnelles utiles permettant de caractériser les changements atmosphériques dans l'Arctique.