Résumé
Digital map products and spatial inventories are becoming increasingly available from geological surveys, agricultural, natural resource, environmental, energy, transportation and forestry departments. As well there are now multitudes of specialized digital airborne and satellite image products available. This wide availability of geographically referenced data and the advances in spatial data analysis software are providing geoscientists with new tools and new ways of viewing traditionally used data.
Through several examples, this paper will demonstrate how remote sensing and GIS technologies can contribute to environmental assessment of an urban fringe area. Nowhere is the need for spatial inventories and mapping greater than in such areas, where pre-existing information becomes rapidly outdated. A 260-km2 site, north of Metropolitan Toronto was chosen as a study area. A spatial data base was constructed which included imagery from three different satellite sensors, a Digital Terrain Model (DTM), a digital drainage network, and a digital copy of the Ontario Geological Survey's Quaternary geological map.
Résumé
Un nombre croissant de produits de la cartographie numérique et d'inventaires spatiaux sont offerts par les services de levés géologiques et les ministères responsables de l'agriculture, des ressources naturelles, de l'environnement, de l'énergie, des transports, et des forêts. Il existe également une multitude de produits numériques spécialisés provenant de l'imagerie satellite ou aéroportée. Cette grande disponibilité de données à références géographiques et les nouveautés en matière de logiciel d'analyse des données spatiales offrent aux géoscientifiques de nouveaux outils et de nouvelles façons de considérer les données habituelles.
À l'aide de plusieurs exemples, on démontre dans le présent article comment la télédétection et les technologies de SIG peuvent être utilisées dans l'évaluation environnementale des zones péri-urbaines. Il n'existe pas d'en-droit où le besoin de données d'inventaires spatiaux et de cartographie soit plus pressant que dans ces banlieues, où l'information existante est sit vite périmée. Une zone d'étude de 260 km2 située au nord de la zone métropolitainede Toronto a été choisie. Une banque de données spatiales a été créé, et elle renferme des images provenant de trois détecteurs satellisés, un modèle numérique de terrain (MNT), un réseau de drainage numérisé, et une copie numérique de la carte géologique des dépôts de Quaternaire de la Commission Géologique de l'Ontario.