Volume 38, Number 4 (2011)
Articles

Robert Bell’s Professorship at Queen’s University, 1864–1868

Ian A. Brookes
Department of Geography, York University, Toronto, ON, Canada, M3J 1P3

Publié-e 2011-12-12

Comment citer

Brookes, I. A. (2011). Robert Bell’s Professorship at Queen’s University, 1864–1868. Geoscience Canada, 38(4). Consulté à l’adresse https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/18968

Résumé

Robert Bell (1841–1917) enseignait à Queen’s College (plus tard ‘l’université’) à Kingston, Ontario de 1864-1868, précèdemment étant servait pour sept ans comme assistant avec la commission géologique du canada. De Queen’s il rejoindait la commission, et servait jusqu’à son retraitement en 1908, ayant été avancé qu directeur ‘suppléant’ de 1901-1906. A 23 ans il se mettrait son position à Queen’s, déjà reconnaitrait comme autorité de la période glaciaire. A Queen’s il n’était pas heureux – son prédecesseur quittait sous une voile; il y’aient l’opposition à sa succession au poste; des professeurs opposants coöptait des étudiants, qui lui harcelait avec des bouleversements en classe. En total il rencontrait ces blessures avec l’insistance du soutien de l’administration et régularisation de son engagement provisoire et sa rémunération. A Queen’s il se perdrait le standing professionel, en particulière à cause de son participation douteux en l’évaluation des propriètés minières de l’or en Nouvelle-Ecosse (1868), quand une groupe des dignitaires de Kingston (‘le pacte’) avaient placait l’argent pour le développement. Mais aussi, quelques facteurs gagnait-t-il l’avancement en carrière: l’ecrivant d’un châpitre – ‘Dépôts Superficies’ – pour le grand sommaire, La géologie du canada (1863); participation dans l’exploration de la commission aux Iles de la madeleine et l’ouest de la Terre-Neuve (1867); direction des explorations géologiques à l’ile manitoulin (1865, 1866); ses visites en Ecosse en 1864 et 1868, où il attendait les classes des scientifiiques proéminents de l’université de l’édinbourg; aussi il rencontrait la famille glasgwègienne dans laquelle il mariait en 1873.