Volume 37, Number 3 (2010)
Articles

NATMAP – Canada’s National Geoscience Mapping Program: 1991 – 2003

Blyth Robertson
Geological Survey of Canada 601 Booth St., Ottawa, ON, Canada, K1A 0E8

Publié-e 2010-09-01

Comment citer

Robertson, B. (2010). NATMAP – Canada’s National Geoscience Mapping Program: 1991 – 2003. Geoscience Canada, 37(3). Consulté à l’adresse https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/18398

Résumé

The National Geoscience Mapping Program (NATMAP) was developed by the Geological Survey of Canada (GSC) in 1991 to support Canada’s natural resources industry by filling gaps in the fundamental geoscience database, and to respond to emerging environmental and societal issues. The 12-year, multi-million dollar program operated through close collaboration between the GSC and the provincial and territorial geoscience agencies; it also incorporated participation from universities and some support from industry. Projects ranged from mapping and assessing the surficial geology of the Oak Ridges Moraine in Greater Toronto, documenting the geological framework of the Slave Province in the Northwest Territories, to research on the evolution of oil and gas in the Magdalen Basin off Canada’s east coast. The program, whose thirteen projects included components in nine provinces and three territories, came to a successful end in 2003. Now, almost twenty years after fieldwork began on the first of the NATMAP projects, impacts of this major contribution to Canada’s geoscience realm have been recognized from several perspectives. As expected, a wealth of new, high-quality geoscience knowledge was acquired for various areas across Canada, knowledge that became and remained readily accessible. Early socio-economic impacts from applying this knowledge can now be recognized and documented. In addition, NATMAP’s legacy must also include recognition of how it led to establishing an important and effective framework under which cooperative and collaborative geoscience is designed and conducted by GSC and provincial and territorial geoscience agencies, and also how the organization of NATMAP became the first step in the evolution of the way in which the GSC plans and undertakes the whole of its geo-science program in response to meeting the varied geoscience needs of Canadians. Perhaps a final testament to the success of NATMAP resides with many of this country’s young geologists, now following professional careers in the public and private sectors, who received invaluable training as student participants in one or another of the NATMAP projects. SOMMAIRE Le Programme national de cartographie scientifique (NATMAP) a été développé en 1991 par la Commission géologique du Canada (CGC) en appui à l’industrie des richesses naturelles en comblant les lacunes de la base de données géoscientifiques, et pour être en mesure de répondre aux problèmes sociaux et environnementaux émergeants. Ce programme de plusieurs millions de dollars étalé sur 12 ans a été mise en œuvre en étroite collaboration entre la CGC, les services géoscientifiques des provinces et des territoires; il y a également eu participation d’universités ainsi qu’une certaine collaboration du secteur privé de l’industrie. Les projets allaient de la cartographie et de l’étude de la géologie des dépôts meubles de la moraine d’Oak Ridge dans la région du Grand Toronto, à la documentation de la structure géologique de la Province des Esclaves dans les Territoires du Nord-Ouest, à la recherche sur l’évolution du pétrole et du gaz dans le bassin de la Madeleine au large de la côte Est du Canada. Ce programme dont les treize projets comportaient des composantes dans neuf provinces et trois territoires s’est terminé avec succès en 2003. Maintenant, près de vingt ans après le début des premiers travaux de terrain des premiers projets, les retombées dans le domaine géoscientifique sont reconnues et ce de différents point de vue. Comme il fallait s’y attendre, une abondance de nouvelles connaissances géoscientifiques de haute qualité ont été ainsi acquises de diverses régions du Canada et sont désormais disponibles. On peut déjà mesurer et documenter les premières retombées socio-économiques découlant de l’application de ces connaissances. C’est aussi NATMAP qui a permis l’édification d’un important et efficace réseau de collaboration et de coopération permettant la planification et la réalisation de projets géoscientifiques menés par la CGC et les services géoscientifiques des provinces et des territoires. Il faut aussi reconnaître comment l’organisation de NATMAP a été la première étape de l’élaboration de la façon dont la CGC planifie et défini l’ensemble de sa programmation géoscientifique afin de répondre aux divers besoins géoscientifiques de la population. Finalement, un dernier aspect des retombées positives de NATMAP sont tous ces jeunes géoscientifiques au pays qui poursuivent une carrière dans le domaine et qui ont été formés par leur participation en tant qu’étudiants aux projets de NATMAP.