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Articles

Volume 29, Number 2 (2008)

The Westminster Opera House: A Cultural and Economic Disappointment

Submitted
December 22, 2010
Published
2008-06-06

Abstract

In the late nineteenth and early twentieth centuries, most towns in Canada boasted an "opera house." In fact, very little opera was put on the boards; the name was a euphemistic marker of the community’s cultural and economic maturity. The Westminster Opera House (1899-1926) is, like most other opera houses, long since gone and virtually forgotten. This article recounts for the first time the story of the venue and its unsuccessful efforts to become a viable cultural and economic enterprise. Several factors likely contributed to the theatre’s lack of success, not the least of which was the proximity of the younger, burgeoningVancouver. All in all, the Westminster Opera House failed to realize the hopes of its founders and must be counted amongst the city’s disappointments. Résumé À la fin du dix-neuvième et au début du vingtième siècle, on trouvait un opéra dans pratiquement toutes les villes canadiennes. Dans les faits, il était rare que des œuvres d’opéra figurent au programme de ces établissements; leur nom servait à marquer par un euphémisme la maturité culturelle et économique des collectivités en question. Comme la plupart des autres établissements de son genre, la Westminster Opera House (1899-1926) a fermé ses portes depuis longtemps et a pratiquement été reléguée aux oubliettes. Barrington-Foote rappelle pour la première fois l’histoire de ce lieu et les efforts infructueux qui ont été déployés pour en faire une entreprise viable sur les plans culturel et économique. Plusieurs facteurs ont probablement contribué à cet échec, dont la proximité de Vancouver, une ville plus jeune et en plein essor. Somme toute, le rêve des fondateurs du Westminster Opera House n’a pas été réalisé, et leur projet compte parmi les grandes déceptions qu’a connues la ville.