1 To say goodbye. This issue of Material History Review is the tenth and last one for which I shall serve as Editor in Chief. When I was asked to accept this job, the invitation was specifically for number 28. There was some doubt whether there would be a number 29, not so much because of the need for the journal or the abilities of the people who wrote for it and produced it, but due to the operational circumscriptions of the institutions that published it. Since then, it appears to me, MHR has flourished in every way. This results from the efforts of the National Museum of Science and Technology, which has shown commitment and competence in the management, production and promotion of the review, from the maturing field of material history in Canada and the scholars engaged in its pursuit, and from the involvement of the editorial board and outside referees who have ensure high standards for its contents. For me it has been a privilege to follow my distinguished predecessors in sampling the pleasure of getting first glimpses of new research findings. I shall be happy to see the top of my desk again and to turn to other interests; I shall miss my involvement with the authors and the sense of purpose that working on MHR entails.
2 To express my thanks. It is impossible to include all to whom I am grateful for their help with MHR. One who must be singled out is my colleague Jean-Pierre Hardy who is leaving his post as Associate Editor. This will sever the last tie of the History Division of the National Museum of Man with the journal that it founded. In a variety of capacities Jean-Pierre has been an outstanding friend to the review and has shaped its philosophy and content. Members of the editorial board and guest editors have lightened my task considerably. It is timely to thank Jocelyne Mathieu, who is leaving the editorial board, for her very active role in securing new scholarship for the review. Geoff Rider remains at his post as Managing Editor, easily the most difficult and thankless position connected with MHR. He bears the burden with diligence, dedication and, generally, good humour. I am indebted to him for his patience, wisdom and friendship. I wish to recognize and thank Monsieur Jacques E. Ouellet, former Deputy Director of the Canadian Museum of Civilization, for his aid in ensuring the survival of the journal. I must also thank the management of the Canadian Museum of Civilization, particularly Dr. D. T. Gallacher, for permitting Jean-Pierre and me to stay with MHR through its transitional phase.
3 To extend my welcome. The new Editor in Chief, Robin Inglis, Director of the North Vancouver Museum, brings impressive credentials to the job. A highly-esteemed member of the museum community and an experienced editor, Robin will open fresh vistas for the review and provide the leadership that an established publication requires. Luce Vermette of the Canadian Parks Service is joining the team as Associate Editor. Luce is well-known to the readers of the journal for her contributions in the past and brings a wealth of contacts and insights to her new duties. Finally I want to welcome the new readers who are getting to know Material History Review in steadily growing numbers and the new authors who are finding it worthy of their support. As I was working on the final details of this my last issue, enough submissions were received to fill yet another. And that is a most welcome circumstance!
4 Pour dire au revoir. Le présent numéro de la Revue d'histoire de la culture matérielle est le dixième et dernier dont j'aurai été chef de la rédaction. Lorsqu'on m'a offert ce poste, mon mandat se limitait au numéro 28. La publication du numéro 29 était en effet incertaine, non pas que l'on doutât de l'utilité de la revue ou de la compétence de ses collaborateurs, mais en raison des problèmes opérationnels des organismes qui l'éditaient. Depuis lors, selon moi, la RHCM a prospéré à tous égards. Ce résultat est attribuable aux efforts du Musée national des sciences et de la technologie, qui a fait montre d'empressement et de compétence dans la gestion, la production et la promotion de la revue; au milieu florissant de l'histoire de la culture matérielle au Canada et des spécialistes qui s'y consacrent; et à l'engagement du comité de rédaction et de ses conseillers de l'extérieur, qui ont assuré la haute qualité de son contenu. Ce fut pour moi, comme pour mes distingués prédécesseurs, un rare privilège d'être le premier à prendre connaissance des conclusions de nouvelles recherches. Je serai heureux de voir enfin mon bureau en ordre et de me consacrer à d'autres tâches, mais la collaboration avec les auteurs me manquera, tout comme le sentiment de faire oeuvre utile en travaillant pour la RHCM.
5 Pour exprimer mes remerciements. Il m'est impossible de remercier tous ceux qui m'ont assisté dans mon travail à la RHCM. Il me faut cependant mentionner tout spécialement mon collègue Jean-Pierre Hardy, qui quitte son poste de rédacteur adjoint. Son départ marquera la rupture définitive des liens entre la Direction historique du Musée national de l'Homme et la revue qu'elle a fondée. Jean-Pierre fut, à plusieurs titres, un ami exceptionnel de la revue, dont il a forgé à la fois la pensée et la matière. Les membres du conseil de rédaction et les rédacteurs invités m'ont eux aussi beau-coup aidé dans ma tâche. Je profite de l'occasion pour exprimer ma reconnaissance à Jocelyne Mathieu, qui quitte le conseil de rédaction, et qui s'est employée à recruter de nouveaux collaborateurs pour la revue. Geoff Rider demeure directeur administratif, sans contredit le poste le plus exigeant et le plus ingrat au sein de la rédaction de la RHCM. Geoff assume cette responsabilité avec diligence et dévouement et, le plus souvent, avec humour; je lui suis reconnaissant de sa patience, de sa sagesse et de son amitié. Je tiens à remercier en outre M. Jacques E. Ouellet, ancien directeur adjoint du Musée canadien des civilisations, pour avoir aidé à assurer la survie de la revue. Je dois également remercier la direction du Musée canadien des civilisations, notamment M. D.T. Gallacher, pour nous avoir permis, à Jean-Pierre et à moi, de demeurer à la flHCMpendant la période de transition.
6 Pour souhaiter la bienvenue. Le nouveau chef de la rédaction, Robin Inglis, directeur du North Vancouver Museum, entre en fonctions avec un bagage impressionnant. Hautement respecté dans le milieu de la muséologie et rédacteur chevronné, Robin ouvrira de nouvelles perspectives à la revue et assumera le leadership que requiert une publication établie. Luce Vermette, du Service canadien des parcs, se joint à l'équipe à titre de rédactrice adjointe. Luce est bien connue des lecteurs de la revue, en raison de ses collaborations passées, et apporte à ses nouvelles fonctions une mine inépuisable de relations et d'idées. Je tiens enfin à souhaiter la bienvenue aux nouveaux lecteurs, de plus en plus nombreux, de la Revue d'histoire de la culture matérielle et aux nouveaux auteurs qui l'ont estimée digne de leur collaboration. Au moment où je m'apprêtais à mettre sous presse le présent numéro, qui sera mon dernier, nous avions déjà reçu suffisamment d'articles pour en constituer un autre. Voilà qui est de très bon augure !