@article{Harrell_2004, title={Archaeological Geology of the World’s First Emerald Mine}, volume={31}, url={https://journals.lib.unb.ca/index.php/GC/article/view/2752}, abstractNote={Emerald, a green transparent variety of beryl, was one of the most highly prized gemstones in antiquity. The earliest known emerald mine is located in the mountain valley of Wadi Sikait in Egypt’s Eastern Desert, where mining probably began toward the end of the Ptolemaic period in the first century BC. Most of the mining activity, however, dates to the Roman and Byzantine periods, from the late first century BC through the sixth century AD. The Romans referred to emerald as <em>smaragdus</em> and named the Sikait region <em>Mons Smaragdus</em> or Emerald Mountain. An archaeological geology survey of Wadi Sikait was undertaken for the purpose of mapping the distribution of ancient mine workings, deducing the ancient mining methods, and describing the geological occurrence of emerald. It was found that emerald and other green beryls occur within the contact zone between phlogopite schist and intrusive quartz and pegmatite veins. The workings, which were excavated in the softer phlogopite schist with flat-edged chisels and pointed picks, are mostly shallow, open-cut trenches that follow the quartz/ pegmatite veins. Some workings continue as much as 100 m underground and are still largely unexplored. It is noteworthy that the geological occurrence of beryl in Wadi Sikait, the world’s oldest emerald mine, is essentially the same as for the world’s newest emerald discovery at Regal Ridge in Canada’s Yukon Territory. RÉSUMÉ L’émeraude qui est une variété de béryl vert transparent, était l’une des pierres précieuses les plus prisées dans l’Antiquité. La plus vieille mine d’émeraude connue est située dans la vallée de montagne de Wadi Sikait dans le désert oriental de l’Égypte, où l’extraction a probablement débutée vers la fin de la période ptolémaïque durantle premier siècle A.C. Cependant, le gros des travaux d’extraction date des périodes romaines et byzantines, de la fin du premier siècle avant J.C. jusqu’au sixième siècle après J.C. Les Romains utilisaient le mot <em>smaragdus</em> pour désigner l’émeraude et désignait la région de Sikait par l’expression <em>Mons Smaragdus</em> ou la montagne d’émeraude. Une étude de géologie archéologique de Wadi Sikait a été entreprise dans le but de cartographier les anciens sites d’extraction, d’en déduire les anciennes méthodes d’extraction utilisées et de circonscrire la distribution des gisements d’émeraude. On a découvert que les gisements d’émeraude et autres béryls verts sont localisés dans la zone de contact séparant une zone de schistes à phlogopite et de veines intrusives de quartz, d’une zone de pegmatites. Les excavations pratiquées dans la formation plus tendre du schiste à phlogopite à l’aide de ciseaux à pointe aplatie et de pics pointus, sont peu profondes pour la plupart, et forment des tranchées à ciel ouvert qui longent les zones de veines de quartz et de pegmatites. Certaines d’entre-elles qui se prolongent en soussol jusqu’à 100 m de profondeur sont peu explorées. Il est intéressant de noter que le cadre géologique du béryl de Wadi Sikait, la plus vieille mine d’émeraude au monde, est essentiellement le même que celui du plus récent gisement découvert à Regal Ridge dans les Territoires du Yukon au Canada.}, number={2}, journal={Geoscience Canada}, author={Harrell, James A.}, year={2004}, month={Jun.} }