@article{Douglas_2014, title={After the First 2,000: A Response to Horst’s “Mainstreaming Second Language Vocabulary Acquisition”}, volume={16}, url={https://journals.lib.unb.ca/index.php/CJAL/article/view/21298}, abstractNote={<p align="center"><strong><br /></strong></p><p align="center"><strong><br /></strong></p><p> </p><p><strong>Abstract</strong></p><p>This paper is a response to Horst’s (2013) proposal that language teaching should incorporate opportunities for English language learners to acquire the 2,000 most frequent word families in English. She does this by setting out the vital role vocabulary plays in English language proficiency, outlining how knowing high frequency vocabulary unlocks English language proficiency, and establishing why vocabulary learning opportunities need to be part of classroom instruction. Horst’s argument creates a convincing lexical goal for English language learners because it is these first 2,000 word families that will create the foundation for the future vocabulary growth necessary to engage independently in increasingly complex language tasks.  However, knowledge of the most frequent 2,000 word families in English is only the first threshold to eventually becoming a proficient user of English. Once the first 2,000 word families are part of an English language learner’s vocabulary, there remain further lexical thresholds to cross on the way to increasing levels of English language proficiency. </p><p><strong><br /></strong></p><p><strong>Résumé</strong></p><p>Cet article est une réponse à la proposition de Horst (2013) que l’enseignement de l’anglais langue seconde doit intégrer des occasions pour les étudiants d’acquérir les 2 000 familles de mots les plus fréquentes en anglais. Elle décrit le rôle vital que joue le vocabulaire dans la maîtrise de la langue anglaise, comment la connaissance du vocabulaire de haute fréquence permet la maîtrise de la langue anglaise et pourquoi l’apprentissage du vocabulaire doit faire partie de l’enseignement en classe. L’argument de Horst est convaincant pour les apprenants de langue seconde parce que les premières 2 000 familles de mots créent les bases de la croissance future du vocabulaire qui leur seront nécessaires pour s’impliquer de façon automatique dans des tâches langagières plus complexes.  Cependant, la connaissance des 2 000 familles de mots les plus fréquentes en anglais n’est que le premier seuil pour devenir un utilisateur avancé de l’anglais. Après que les 2 000 premières familles de mots font partie du vocabulaire d’un étudiant d’anglais langue seconde, il reste d’autres seuils lexicaux à franchir sur le chemin de l’augmentation des niveaux de compétence en langue anglaise.</p>}, number={1}, journal={Canadian Journal of Applied Linguistics}, author={Douglas, Scott Roy}, year={2014}, month={Feb.}, pages={189–199} }